Table des Matières

Į -1 BUT de l’ÉTUDE. 1II – DOCUMENTS UTILISÉS. 1

RUES

la Rue la Bourdonnaye - . - Carrefour Olivier 33 - la Rue d’ Amboise. 43 - Passage Rohan. 48 -Carrefour Tournemine. 54 - Place Municipale 1. 57 -

Place du Commerce. 80 - Rue La Fayette Côté Gauche Descendant 1. 84 - la Rue La Fayette Côté Gauche Descendant 2. 102 - Bout du Pont 116

- Rue du Port 120 - Rue de la Navette. 127 - Bel  Orient 153 - Ruelle de la Motte . 15. 155 - Quartier St Nicolas

La Fayette Côté Gauche Remontant 2. 158 - Ruelle de la Bergerie. 179 - Place du Commerce 2. 192 - Rue St Vincent 1. 202 - la Rue du Bétail 1. 205

Haut Champ de Foire. 209 - Rue du Bas Champ de Foire. 217 - la Rue du Bétail(2) 218 - la Rue des Brelles. 221 - Rue St Vincent(2) 225 - Place Municipale (2) 241

Passage Lasalle. 295 - la Rue Montauban. 296 - la Rue des Barres. 301

 

 

 

ANNEXES. 391

Plan Parcellaire de la Ville de La Gacilly en 1824     Annexe 1. 393 - Recensement 1836 (extrait)       Annexe 3. 395 - Naissances 1836 (extrait) Annexe 4. 396

Jumeaux 1820-1890 Annexe 5. 397 - Séries de Naissances 1820-1890  Annexe 6 - Mariages Gaciliens 1836 (extrait)  Annexe 8. 402 -

. 394Mariages de Mineurs 1820-1890    Annexe 9 - Décès en 1836 (extrait)    Annexe 10 - Habitants de La Gacilly en 1836 Annexe 11. 407

Prénoms Anciens  Annexe 12. 421 - Métiers Gaciliens en 1836 Annexe 13. 423 - Personnalités en  1836  Annexe 14. 425

Personnalités  Gacilennes 1820 – 189 Annexe 15. 426 - Maires Gaciliens   Annexe 16. 430 - Notaires de La Gacilly Annexe 17. 431

. 433GENDARMERIE - Garde Nationale Gacilienne  en  1831  Annexe 21. 438 - Acte Respectueux Hervy    Annexe 22. 440   

Anciens Soldats des Armées Napoléoniennes 

 

–VILLAGES GACILIENS.

 

  . 442

 

Į - BUT de l’ÉTUDE.

L’idée principale a été de replacer chaque Gacilien dans sa maison d’habitation en 1836  qu’il soit propriétaire  ou  locataire.

II – DOCUMENTS UTILISÉS.

Pour arriver à ce but, il a fallu étudier et croiser beaucoup de documents anciens. Tout d’abord

          1-Le cadastre de 1824 qui comporte deux éléments :

                A-les plans parcellaires : c’est  la représentation graphique de toutes les parcelles de la commune ; les bâtisses (maisons d’habitation et autres bâtiments comme remises, ateliers, hangars, granges)  sont en rose et chacune porte un numéro. Les bâtisses en jaune désignent des ruines non habitables.

                                                                                                       Extrait Annexe 1

                B-la matrice parcellaire: c’est la liste de toutes les parcelles avec les coordonnées du propriétaire pour chacune d’elles.

•                                                                                                        

                

       2-Le recensement de la population de 1836.Extrait Annexe 3

            

                  Le premier recensement de la population à La Gacilly fut effectué en 1831, mais les résultats sont restés introuvables aux Archives de Vannes. Les résultats du recensement de 1836  ont donc été retenus. C’est la raison principale du choix de l’année 1836 pour cette étude.

                  Il aurait été pourtant plus simple et plus judicieux de comparer les résultats du recensement de 1831 avec le cadastre de 1824, l’écart entre les deux années aurait été moindre. Cependant, même si cet écart semble important en nombre d’années (12 ans), il ne pose pas trop de problèmes, car il faut savoir qu’il n’y a eu que peu de changements importants entre ces deux années en ce qui concerne les constructions.   Par contre, ce n’est pas le cas après 1836 ; il y eut beaucoup de modifications :

  Ø  La Maison de Ville (Médiathèque actuelle) était en construction en 1836 ; elle sera terminée en 1837

  Ø  Percement de la Rue Neuve (rue du Relais Postal actuelle) avec la démolition de trois vieilles maisons vers 1839.

  Ø  L’incendie de 1839 de la rue Montauban dans lequel disparurent trois autres vieilles maisons.

  Ø  Construction du Champ de Foire en 1840 avec l’ouverture des rues Bernard et Hervo.

  Ø  Début de la construction de l’église en 1845 ; dans ce quartier, beaucoup de nouvelles demeures apparurent alors.

            3- Les actes notariés ont également été consultés à partir de 1824 ; ce n’est que vers 1833-34 que les références du cadastre et surtout les numéros de parcelles ont été prises en compte dans ces actes notariés. À partir de ces années, les actes sont donc beaucoup plus facilement exploitables. C’est la deuxième raison du choix de 1836.

            4 - Autres Documents       

                  Procès-Verbaux de la Justice de paix : les premiers datent de 1836, autre raison du choix de 1836 pour cette étude

                  Procès-Verbaux des réunions du Conseil Général du Département : les premiers datent de 1838.

            5 - Étude démographique de la population de La Gacilly de 1820 à 1890,

                  Pendant 70 ans, toutes les naissances, tous les mariages et tous les décès ont été relevés et étudiés. Ce travail a donné lieu à de nombreuses listes, à des tableaux annuels et/ou décennaux, à des calculs, à des récapitulations chiffrées, à des observations, mais aussi à des « trouvailles » parfois inattendues qu’on retrouvera dans la suite de cette étude.

  De plus, lors du développement de cette étude, il sera fait référence à ces actes d’état civil sous la forme 15N30 ce qui se traduit par : la quinzième naissance de 1830 sur les registres de l’état-civil ; de même , pour un mariage, on trouvera 4M36 ce qui veut dire : le quatrième mariage de 1836 sur les registres de l’état-civil ; même chose pour les décès avec, par exemple, 26D74 c’est à dire le vingt-sixième décès de 1874.

  Sans vouloir entrer dans le détail de tous ces documents, voici quelques résultats :

  A -  Naissances de 1836.  Extrait Annexe 4

  Avec ce genre de tableau, on peut aisément détecter :

  • le papa le plus jeune : 21 ans en 1843.
  • le papa le plus âgé : 70 ans en 1882.
  • la maman la plus jeune : 17 ans en 1863.
  • la maman la plus âgée : 48 ans en 1843, enfant naturel.

  §  la naissance des jumeaux ;   Annexe 5

  il n’y a pas eu de triplés à La Gacilly pendant ces 70 ans.

  §  les séries de naissance du même sexe ; la série la plus importante sera la naissance de 9 garçons à suivre en mars et avril 1838. 4 naissances masculines à suivre en 1836.    Annexe 6

   

  Au point de vue administratif, le nouveau-né est toujours présenté par le père sauf si celui-ci est empêché, absent momentanément ou décédé. Il est alors remplacé par un homme de la famille ou un voisin. Dans le cas d’une naissance d’enfant naturel (père inconnu), le grand-père maternel fait souvent la présentation, mais celle-ci peut être effectuée par une femme, la sage-femme (l’accoucheuse) en l’occurrence ou une voisine. C’est le seul cas où une femme peut faire la démarche. Les deux témoins sont toujours des hommes majeurs (+ de 21 ans) de la famille ou des voisins.

  Le maire et son adjoint ne peuvent pas être à la fois officier de l’état-civil et témoins.

  Les naissances d’enfants mort-nés seront inscrites à l’état-civil à partir de janvier 1842.

  B-Mariages de 1836. Extrait Annexe 8

                  Avec ce genre de document, on peut facilement détecter :

  Les jeunes hommes et les jeunes filles qui se sont mariés en étant mineurs Annexe 9

  Un jeune homme de 19 ans en 1821 et deux jeunes filles de 15 ans en 1820 et 1867.

  Les plus vieux mariés : un homme de 71 ans en 1853 et une dame de 72 ans en 1854.

  Lors de leur passage à la mairie, les mariés devaient être assistés de quatre témoins : des hommes majeurs (plus de 21 ans) choisis dans la famille ou parmi les voisins.

  Certains mariages donnaient lieu à un acte respectueux rédigé devant le notaire en présence de la mariée et de ses parents. (Voir la famille Hervy, maison n°11-1455).

  C-Décès de 1836   Extrait Annexe 10

  Les témoins appelés « déclarants » sont toujours des hommes majeurs (famille ou voisins).
  À partir de 1840, le père peut être déclarant.

  Sur le tableau en annexe, on relève le décès d’un mendiant de mère inconnue.

  Sur 70 ans, l’homme le plus vieux est décédé à 98 ans et la dame la plus vieille à 99 ans. Il n’y a pas eu de centenaire à La Gacilly pendant ces 70 ans.

  D-Autres Données fournies par l’Étude Démographique.

  Avec toutes les données relevées, il a été possible de faire la liste :

  -        de tous les Gaciliens en 1836     Annexe 11

  -        des prénoms donnés aux Gaciliens de l’époque parfois disparus depuis.   Annexe 12

  -        des métiers de 1836 disparus ou rares aujourd’hui Annexe 13

  -        des personnalités gaciliennes  en 1836    Annexe 14

  -        des professions libérales et des fonctionnaires de ces 70 ans Annexe 15

  -        de tous les maires gaciliens Annexe 16

  -        de tous les notaires gaciliens Annexe 17

• III - Itinéraire suivi pour l’Étude.

  Pour replacer chaque Gacilien dans sa maison, on a suivi, sur le plan cadastral, le parcours du recenseur en 1836. C’est la raison pour laquelle la première maison étudiée se trouve rue La Bourdonnaye (rue Yves Josso actuelle). Pour pouvoir bien suivre ce parcours, il est intéressant et même essentiel d’utiliser le nom des rues, places et autres ruelles qui existaient en 1836 et que le recenseur a parcourues. Voici l’itinéraire suivi :

Rue La Bourdonnaye (le « De » avait été supprimé pendant la Révolution) ;

rue Yves Josso

Carrefour Olivier : rue Yves Josso

Rue d’Amboise : rue Diapaga  

Passage Rohan : rue du Vaugleu

Carrefour Tournemine

Place Municipale et Rue des Posts : place du Général de Gaulle

Place du Commerce (pas question du placis du Casrouge) : place Ducrest de Villeneuve

Rue La Fayette (côté gauche en descendant)

Bout du Pont

Rue du Port

Rue de la Navette : venelle du Lihoué

Rue La Fayette (côté gauche en remontant) : rue du Relais Postal

Bel Orient

Rue de la Motte :

Quartier Saint-Nicolas : rue d’Hollersbach

Rue La Fayette (deuxième partie du côté gauche)

Ruelle de la Bergerie : venelle des Fours et la Bergerie

Rue Saint-Vincent (côté gauche en montant)

Rue du Bétail : rue du Pavillon

Rue du Haut Champ de Foire : chemin de la Bergerie

Rue du Bas Champ de Foire : rue du Menhir

Rue du Bétail (en redescendant) : rue du Pavillon

Rue des Brelles : fin de la rue Saint-Vincent

Rue Saint-Vincent (côté gauche en descendant)

Place Municipale : place du Général de Gaulle

Passage Lasalle

Rue Montauban

Rue des Barres. : rue Montauban

En 1836, les habitations n’étaient pas numérotées. Pour pouvoir s’y retrouver, il a donc fallu retenir une numérotation. Pour ne pas chercher trop loin, la numérotation du recensement et la numérotation cadastrale ont été retenues. C’est ainsi que la première maison recensée de la rue La Bourdonnaye porte le numéro  1-1375 : 1 parce qu’il s’agit de la première maison recensée et 1375 qui est son numéro cadastral.

Présentation de la Rue la Bourdonnaye

 

 

1-1375-GENDARMERIE

 Pour avoir plus details sur la gendarmerie cliquer ici

 

2 - 1377 – SOULAINE Geffroy

 

FAMILLE SOULAINE (cliquer ici)

GENEALOGIE SOULAINE (cliquer ici)°

 

3 - 1378 – ÉTRILLARD Pierre

 

FAMILLE ÉTRILLARD

GENEALOGIE ETRILLARD

 

 

4 - 1379-GRINSART / LASALLE  et l’école des Filles

 

GRINSART / LASALLE  et l’école des Filles

 

En 1836, à l’emplacement de la large baie vitrée, il y avait une porte.

Dans cette maison vivaient deux ménages en 1836.

Celui de Laurent LORD qui était jardinier

Celui de la veuve Marie Louise DUPETITBOIS dont la fille aînée Amarante était factrice à La Gacilly ; la deuxième, Sophie, était institutrice et le fils Élie, militaire en activité, deviendra clerc de notaire en 1859. Amarante était mariée avec un Derennes et avait trois enfants. C’est donc onze personnes qui vivaient dans cette maison.  

 

Présentation du Carrefour Olivier

 

5-1380 MORICE  Joseph  

 

En 1836, sur la Gacilly, il y a au moins six branches différentes pour le patronyme MORICE : le Tay, la Forêt/Neuve/Roquennerie, la Provostaye, le Paty, etc.  .Trois de ces familles vivaient dans la ville : ils étaient très liés avec la famille Boucher et ils étaient souvent des blatiers c’est-à-dire des marchands de grains.

Voir aussi maisons 13-1457 et 54-1561 .

Une des filles de Joseph MORICE, Marie-Anne, deviendra sage-femme à la Gacilly.

 

6 – 1381 – BERTHAULT Julien

 

 

Julien BERTHAULT

                La famille Berthault était originaire de Beignon puis elle passera par Savenay avant d’arriver à La Gacilly. Julien Berthault était cloutier c’est-à-dire fabricant de clous ; en 1845, il ouvrira une nouvelle boutique au carrefour Tournemine.

Si les victimes des guerres de 14-18, de 39-45 et d’Algérie sont inscrites sur les monuments aux morts des communes, celles de la guerre de 1870 contre les Prussiens ont été oubliées. Pourtant cinq Gaciliens périrent à cause de cette guerre :

Joseph Marie BERTHAUX né à La Gacilly le 17 mars 1845, fils de Julien et Julie Froc (ou Frault). Il décéda à l’hôpital de Châlons-sur-Marne le 11 août 1871 à l’âge de 26 ans. Il était sergent au 4° régiment d’Infanterie de ligne. L’acte de son décès ne parvint à la mairie de La Gacilly que le 12 juin 1872.

Pierre Julien GLET né à La Gacilly, âgé de 26 ans, de la Haute-Bardaye, fils de Joseph et de Jeanne Labarre, il fut tué à la bataille de Rézonvile près de Metz le 18 août 1870 alors qu’il était soldat au 10° régiment de ligne. L’acte de décès ne parvint à la mairie de La Gacilly que le 16 février 1872.

Julien Louis PROVOST né à La Gacilly, fils de Julien et Mathurine Chesnais, âgé de 46 ans, fut blessé de deux balles lors de l’attaque du village de Servigny-Les-Sainte-Barbe le 31 août 1870. Les forces françaises se retirèrent en abandonnant leurs blessés sur le champ de bataille. Il est donc supposé décédé ce jour-là alors qu’il était sergent au 1° régiment d’infanterie de ligne. L’acte de décès ne parvint à la mairie de La Gacilly qu’en mars 1873.

Joseph Marie FICHET né le 11 mars 1844 à La Gacilly, fils de Mathurin et Marie Dubois, âgé de 29 ans, soldat au 49° régiment de ligne. Le 3 août 1870, parti pour rejoindre les bataillons actifs de son régiment, il ne reparut jamais. Les Prussiens signalèrent par la suite que le 13 novembre 1870 un jeune soldat français décéda à Breslau des suites d’une dysenterie. L’acte de décès ne parvint à la mairie de La Gacilly qu’en mars 1873.

Armand SOULAINE né à La Gacilly le 16 mars 1840, fils de Jean Baptiste et de Julienne Béranger, âgé de 30 ans, mobilisé pour la guerre de 1870 comme garde à la légion de Vannes, décéda à l’hospice de Saint-Brieuc le 28 janvier 1871. L’acte de décès ne parvint à la mairie de La Gacilly qu’en mai 1873 .

7-1382 – HERVÉ Jeanne

 

Elle était de la famille du juge de paix qui exerçait alors à Carentoir, mais qui, en 1837 , reviendra à la Gacilly.

8 – 1449 – PERCHEUL Jean Marie

 

9 – 1451 - BELLIARD   Jacques  

 

A remarquer le prénom, Généreux, du dernier garçon

10 – 1454 - CLÉSIO  Joseph

 

Joseph CLÉSIO était le fils de Honorat CLÉSIO voir maison 67-1597

Présentation de la Rue d’ Amboise

 

11 – 1455 – HERVY Michel

 

FAMILLE HERVY GÉNÉALOGIE HERVY

 

 

Cette maison abrita la première prison gacilienne (voir maison 1-1375)

 

 

12 – 1456 - HERVIGOT  Mathurin 

 

 

Mathurin HERVIGOT fut d’abord fileur de laine avant d’être sergier

En 1798, cette maison était habitée par Pierre Mathurin SOULAINE alors tanneur qui ira ensuite habiter la maison 103-1657

Après les Hervigot et les Juhel (naissance de Jean Juhel), cette maison deviendra le café Leclerc où sera installé le premier billard de la Gacilly .Un autre sera installé chez Madame Le Moing, débit de boissons, situé juste après l’hôtel de France dans l’angle du chemin (Jacques Guillet p.183).

Les possesseurs de billard payaient alors un impôt

 

Présentation du Passage Rohan

 

13 – 1457 – MORICE Louis

 

FAMILLE MORICE GÉNÉALOGIE MORICE

 

 

 

 

41 – 1529- CHEVAL  Yves

 

 

CHEVAL Yves était originaire de Sixt-sur-Aff et ne semble pas être de la même famille que le notaire Jean CHEVAL.

 

42 - 1531-1532 MORIN Pierre

 

En 1836, Julien Marie HALLIER, alors âgé de 19 ans était employé comme garçon–meunier au moulin de la Chamoiserie. Il décédera au bagne des Iles du Salut en Guyane à l’âge de 47 ans (15d67).

En 1856, Louis POLIGNÉ est propriétaire de la Chamoiserie .Elle sera acquise par la commune le 4 août 1878 et démolie en 1896 pour devenir terrain communal.

Présentation de la Rue du Port

 

43 – 1530 - MÉREL Pierre

 

MÉREL Pierre étant maitre-serrurier, il fit une soumission lors de l’adjudication des travaux de construction de la nouvelle église pour la ferronnerie en 1844. Sa soumission ne fut pas retenue. Il faut dire qu’à cette époque, l’adjudication était faite au « rabais » c’est-à-dire que le montant proposé de la soumission devait être inférieur à celui demandé par l’adjudication , celui-ci  étant déjà très peu élevé.

44 – 1533 - CLÉMENCEAU   François      

 

FAMILLE CLÉMENCEAU

 

 

 45 – 1534 - HOCHET Joseph 

 

C’est dans cette maison que, peu avant 1900, viendra habiter le photographe BROSSEAU qui fera éditer certaines cartes postales sur La Gacilly et les environs ainsi que certains portraits dont celui de son épouse.

Épouse BROSSEAU

Présentation de la Rue de la Navette

 

46 – 1547 - BOUÉMENÉ  Marie

 

 

47 – 1549 - GUILLEMOT  Charles

 

Présentation de la Rue La Fayette Côté Gauche Remontant 1

Figure 13*Rue La Fayette Côté Gauche Remontant 1

 

48 – 1535 - JOUBIN  Jean Marie

 

 

49 – 1536 - DRÉANOT  Joseph 

 

 

50 – 1537 - HOMET Joseph

 

 

51 – 1539 - HOCHET Jeanne Marie

 

 

52 – 1541 - PREBYTÈRE

HABITANTS EN 1836

 

 

FOLOREILLE Louis Recteur FAMILLE LE GALL ET VIVERS

 

HABITANTS du MANOIR de la MOTTE

                                                                              

Raoul I° BOUCEL

Seigneur de la Basse-Bouëxière ce qui devait devenir le château de la Bourdonnaye en 1717. La Basse-Bouëxière était un arrière fief du seigneur de La Gacilly.

Au milieu du XIII° siècle, les BOUCEL étaient une famille carentorienne très influente ; ils avaient, par exemple, leur moulin propre, le moulin Boucel en Carentoir mais aussi et surtout ils avaient leur foire personnelle à Carentoir, la foire Boucel qui avait lieu tous les ans le mardi après la fête de l’Assomption. Raoul I° eut un fils

Éon BOUCEL, seigneur de la Basse-Bouëxière et sieur du manoir de la Motte à La Gacilly.

Le 5 juin 1435, il fit aveu à Françoise de Rieux, la Dame de Malestroit, pour différentes pièces de terre sur le Rahun, sur le chemin de Tréal à La Gacilly. Le 27 juillet 1458, il achète à Béatrix Gourredin, fille de Jehan Gourredin et Jéhanne Pibout, 25 sols de rente que la dite Jéhanne Pibout avait donnée à sa fille sur Dom Guillaume Guiomar, Jéhan Lhostelier du village de Bonnais au nom et pour son beau-père Guillaume Mallessecte. Par acte du 16 janvier 1469, Éon Boucel achète, à Raoul de Malleville, une pièce de terre nommée le Closel près le village de Bodeligan pour la somme de 50 sous monnaie. Éon Boucel épousa, en 1451, Aliette Mallessecte, la fille du seigneur de la Villorion à La Gacilly mais aussi seigneur de Bienassis en Pipriac. Aliette décéda en 1485. Ils eurent un fils

Raoul II BOUCEL, seigneur de la Basse-Bouëxière et sieur du manoir de la Motte.

Il rendit aveu pour partie de sa terre à Jéhan de Rieux dans un acte passé à Nantes le 1° décembre 1485 et collationné à Malestroit le 2 mars suivant. Il y était dit que remise avait été faite au sieur de la Basse-Bouëxière des droits de rachat qui se montaient à 12 livres. Raoul Boucel décéda en janvier 1492, laissant une fille unique

Madeleine BOUCEL, dame de la Basse-Bouëxière et de la Motte. Elle épousa :

Guillaume de COUËDOR, seigneur du Bois-Glé en Guer, qui devint alors seigneur de la Basse-Bouëxière et sieur de la Motte. Il fit d’ailleurs aveu de sa terre à Pierre de Rohan, seigneur de La Gacilly le 22 février 1493. Ils eurent deux enfants : une fille Arthuse qui épousa Pierre du Loquet et un garçon :

François II de COUËDOR, seigneur de la Basse-Bouêxière, du Bois-Glé et sieur de la Motte. Le 22 février 1493, il épousa sa cousine, Perronnelle de Couëdor , fille de François et de Mathurine de Bellouan, sieur et dame du Bois-Glé  et veuve de Julien de la Bourdonnaye. Ils eurent un fils :

René de COUËDOR, seigneur de la Basse-Bouêxière, du Bois-Glé, des Abbaye, de la Fléchaye, de Lorgeraye, sieur de la Motte et, de par son mariage, seigneur de la Villouët à La Gacilly. Il épousa Jeanne Lejeune, dame de la Villouët, fille de Julien et de Jeanne de la Bourdonnaye. En 1563, il acheta toutes les terres de la Haute-Bouëxière. Ils eurent quatre enfants dont :

Jean de COUËDOR, chevalier de l’ordre du Roi, seigneur de toutes les propriétés de son père et donc sieur de la Motte. Par son mariage avec Renée du Guengo le 3 mars 1581, il devient seigneur de la Villouët et même seigneur de la châtellenie de La Gacilly. Il est alors un ligueur déterminé et embrasse le parti du duc de Mercoeur. Son château de la Basse-Bouëxière devient une base pour les troupes de ce duc. Jean de Couêdor habite Paris où il effectue des dépenses considérables qu’il ne peut rembourser ; ses terres de La Gacilly et de la Basse-Bouêxière sont saisies et vendues à François de Talhouêt, seigneur de la Ville-Quéno et gouverneur de Redon.  Ils eurent une fille unique :

Marie de COUËDOR, dame du Bois-Glé et de la Motte. Elle vendit le Bois-Glé, en 1637, à Hélène Du Val, femme de Jean de Marnière ; Elle épousa

Pierre DU HOUX, seigneur du Couêdic-Pibout en Tréal et, de par son mariage ou par rachat, seigneur de la Basse-Bouëxière. Ils eurent un fils Jean V qui épousa Gilette de Kercadiou dont

Jean VI Du HOUX, seigneur du Couëdic-Pibout, de Trébulan, des Bouëxière, du Plessis en Peillac et sieur de la Motte. Il épousa Françoise de Sécillon dont il eut trois enfants, deux filles et un garçon, Jean VII, qui suit. En deuxième mariage, il épousa Jeanne de Forges de la Bouère à La Gacilly. En 1636, René GRIMAUD, notaire et seigneur de la Bouère vend une pièce de terre appelée le Clos de La Gacilly, pièce qui, par succession, dépendra du manoir de la Motte. René Grimaud eut une fille Janne qui épousera Jacques BLONDEL. C’est ainsi qu’il deviendra le grand-père de Suzanne Blondel qu’on retrouvera ci-après.  Jean VI décéda le 5 novembre 1645.

Jean VII Du HOUX, seigneur de La Gacilly, des Bouëxières et sieur de la Motte. Il épousa Anne Huchet de la Bédoyère, fille de Gilles et de Louise Barrin qui avaient acheté la seigneurie de La Gacilly à François de Talhouët et ils en firent don à leur fille. Le manoir de la Motte fut rattaché au château de La Gacilly jusqu’en 1645. Jean VII décéda le 23 novembre 1672 à St-Dolay. Ils eurent trois filles et deux garçons dont

Gilles II Du HOUX, seigneur de La Gacilly et des Bouëxière. Né le 7 juillet 1662, il épouse Marie Louise de Watteville. Il eut des tracasseries avec ses terres des Boëxière et de La Gacilly mais, grâce au retrait lignager, il put racheter ses terres. Il se remaria avec Marie Julienne de Porcaro. 

Marie de CHÉDEVILLE, épouse d’André Saulnier de la Bouère ; elle est une descendante de Jeanne de Forges et de Jean VI Du HOUX ; elle hérita du manoir de la Motte qui passa alors à

Jean de CHÉDEVILLE, sieur de la Motte en 1676, écuyer, procureur d’office de la juridiction et baronnerie de La Gacilly. Le 18 avril 1702, il épouse Jeanne DASSÉRÉ.

Guillaume BOUCHER, il est propriétaire, par héritage, du manoir de la Motte en 1677 qu’il met en vente.

René TUAL, sieur de Meslon, par achat, il devient propriétaire du manoir le 7 janvier 1683 et de ses dépendances : une grange située au Cas Rouge, le pré des Brelles et une terre au taillis des Brelles.  Il était le mari de Suzanne Blondel (voir Jean VI Du Houx ci-dessus). Leur fille, Louise Marie, épouse L’Affiton, habitera le manoir comme locataire qui appartenait alors à Julien Lemarchand, notaire à la Bouère en 1760.

Julien LEMARCHAND, sieur de Belleville, sénéchal de la Bourdonnaye ; il eut une fille Louise Marie qui épousera Yves Jacques Saulnier, sieur de la Tréberdière, notaire à la Bouère et ancien procureur fiscal de la Villouët ;  il vend le manoir le 20 avril 1760 à Anne LEPRIOLIC, veuve Blanchard dont

Gilette Magdeleine BLANCHARD, native de Malestroit, fille d’Anne, épouse de

 Gilles LE GALL, procureur fiscal du marquisat de la Bourdonnaye, avocat à la cour, premier maire de La Gacilly de 1790 à 1792 puis juge au district de Rochefort-en-Terre. En 1795, il devient commissaire du pouvoir exécutif à La Gacilly où il décéde le 10 novembre 1797. Ils eurent une fille qui suit. Le 3 novembre 1790, il est le parrain de la deuxième cloche de l’église Saint-Nicolas, cloche nommée Perrine-Gilette

Marie Anne LE GALL née le 5 novembre 1758 à La Gacilly, dame de la Motte ; elle épouse Noël LE QUÉRÉ de Plonéour puis Louis VIVIERS le 7 novembre 1794. Elle décède le 27 décembre 1830 à La Gacilly à la naissance de leur fils Armand qui décèdera lui aussi. C’est Louis Viviers qui fera construire la chamoiserie au Bout du Pont.

Bien communal : le 18 décembre 1828, M. Barbotin, maire de La Gacilly, fait acheter le manoir de la Motte pour servir de presbytère qui sera loué aux desservants de la paroisse (curés, vicaires et vicaires-instituteurs).

Cent ans plus tard, en 1928, il sera vendu à l’Association Diocésaine de Vannes.

En 1957, le nouveau presbytère s’installant Rue Antoine Monteil, le manoir redeviendra propriété de la commune et servira de  blanchisserie à la maison de retraite située juste au-dessus à la place de l’ancienne école publique des filles. Pendant un certain temps, ce sera un squat ; en 1993, il sera racheté par M. Michel BRAT pour devenir une fabrique d’armes et d’armures anciennes jusqu’en 2007.

 

 

53 – 1557 - HOCHET Pierre

 

 

 

53 A - 1558 - SOULAINE  Geffroy

 

 

 

53 B – 1560 - SOULAINE  Geffroy

 

 

 

54-1561 - MORICE Julien

 

Sur la photo ,figure de gauche à droite :

Marie Rollais femme Coué ; Louise Guérin femme Rollais qui habitait dans la maison cadastrée 53 A 1558 au moment où la photo a été prise ; Marie Boucher femme Rollais ; Juliette Rollais ; Yvonne Rollais ; André Coué, l’époux de Annick Desnos et le chien Mikey

 

                Julien Morice, le cousin de Joseph (maison 5-1380) et de Louis (maison 13-1457), épousa lui aussi une Boucher. Il était aussi blatier d’abord quartier Saint-Nicolas puis rue La Fayette. Ils eurent onze enfants dont cinq décédèrent en bas âge. A 18 ans,, leur fils Joseph, étant charretier lors d’un transport à Redon, son cheval s’emballa, la charrette se renversa dans le fossé et il fut tué( 30 d 64).

                Voir aussi (maison 70-1600), Joseph PIGUEL pour l’article sur les Anciens Soldats de la Grande Armée. Le troisième nommé n’est pas ce Julien Morice. Il s’agit d’un homonyme charpentier au Tay.

   

55 – 1563 - THOMAS  Anne 

 

 

56 – 1564 CADO Pierre 

 

 

57 – 1565 - MAHÉ   Marie Anne 

 

58 – 1566 - BOUCHER Joseph

 

 

Présentation de la Ferme de Bel  Orient |Habitants en 1836 | démographie

 

|59 – 1836 - AUDRAN Patern

Habitants en 1836

Classement alphabétique de la démographie

GRIMAUD Jean, laboureur x HALET Anne dont GRIMAUD Joseph Anne 1775-272

OLIVIER Charles, fermier, 1870-93 x LEMASSON Marie, xx DOUCET Laurence dont

• Laurence 1870-93
• Marie 1871-147
• Paul Luc 1872-166

DOUCET Laurence, 1870-93 x OLIVIER Charles

Présentation de la Ruelle de la Motte

 

 

 

Présentation du Quartier St Nicolas

 

61 -  1573 - SPERT   Jean  

 

 

62 -  1574 - CHEVAL   Joseph

 

 

CHEVAL Joseph n’était pas de la famille de Jean Cheval, notaire à La Gacilly. Natif de Lestun en Cournon, il épousa Louise Sorel qui était alors fruitière dans la rue La Fayette.

Présentation de la Rue La Fayette Côté Gauche Remontant 2

 

63 – 1583 - RÉMIGNIAC   Louis

 

 

64 – 1585 - BRÉCHARD   Augustin    

 

 

65—1586 - MARTIN    Jacques Henri 

 

 Le 28-décembre1833, mariage à La Gacilly de Jacques Henri MARTIN, âgé de 35 ans, natif de Bois-le-Roi dans l’Eure, avec Nicole Gapihan épicière dans la rue La Fayette, juste après la venelle de la Sellerie.

Vers 1837, il est alors garde forestier des domaines du Roi et habite à Mabio/La Roquennerie. Le 25 mai 1839 son épouse décède à Mabio à l’âge de 39 ans. Six mois plus tard, le 25 novembre 1839, il se remarie avec Louise Marie Soulaine, âgée de 28 ans Vve de Jean Louis Pinel.

Voir aussi Etude Mabio/Roquennerie (maison 3-1378).

 

66 – 1587 - CHEVAL   Louis

 

FAMILLE CHEVAL GÉNÉALOGIE CHEVAL

 

 

67 -  1597 - CLÉSIO Honorat

 

FAMILLE CLÉSIO GÉNÉALOGIE CLÉSIO

 

.

68 – 1598 - BRUC Patern

 

GÉNÉALOGIE BRUC

 

69 – 1599 –TEMPLÉ Julien 

 

 

70 – 1600 – PIGUEL Joseph

 

 

Les soldats qui avaient participé aux campagnes napoléoniennes n’avaient pas eu droit à une pension de retraite militaire ni à aucun secours. C’est pourquoi en 1857, il est demandé aux maires d’effectuer un recensement pour connaître leur situation financière. A La Gacilly, cinq anciens soldats furent recensés dont Joseph PIGUEL, déclaré comme limonadier, ayant fait toutes les campagnes de Prusse et d’Espagne en qualité de tambour-maître, n’a jamais rien demandé ni jamais rien reçu, est dans l’aisance.

 Jean Marie HERSART (maison 24-1475) est déclaré, sur cette liste, avoir un enfant aveugle et quatre autres sont engagés volontaires

Julien MORICE (maison 54-1561)

Julien SAULNIER (maison 34-1489)

 

71 – 1606 - AUDRAN  Joseph

 

 Le 24 février 1793, le conseil municipal décide d’appeler comme recteur René Noël Rubault, ancien vicaire de La Gacilly. Il arrive aussitôt et s’installe dans une chambre de cette petite maison appartenant à la Vve Legouër, boulangère, dont la fille Félicitée épousera  Joseph AUDRAN. Mais le 19 mars, à peine installé, il est obligé de fuir en toute hâte et d’aller se réfugier à Redon sous la protection des soldats du général Beysser, pour éviter la colère des paysans révoltés. A la fin du mois , les chouans se retirèrent et l’abbé put rentrer à La Gacilly dans sa chambre de la rue La Fayette.

HISTOIRE René-Noël RUBAULT

 

72 – 1607 - DUBOIS Yves  

 

 

 

Présentation de la Ruelle de la Bergerie

 

73 – 1723 - HOUSSIN  Charlotte

 

Charlotte HOUSSIN, Vve de Joseph Poligné, sabotier. Son fils François fut aussi sabotier. Laurent MAHĚ habitait dans cette maison et était aussi sabotier. Bien que ne figurant pas sur le cadastre( maison construite entre 1834 et 1836), mais vu le nombre de personnes vivant dans cette maison, on peut penser qu’il s’agissait de la grande maison de la Bergerie qui fut construite sur le terrain 1723 et en ruine aujourd’hui.

74 – 1721 - DANET Jean Marie

 

 

75 – 1722- NICOLAS  Louise

 

 

76 – 1712 - MOUNIER   Catherine

 

 

76-A- - 1603 - BOUCHER Pierre 

 

 

77 – 1604 - CHEVAL  Louis

 

 

78 – 1593 - VILLERIO Jean 

 

FAMILLE VILLERIO GÉNÉALOGIE VILLERIO

 

                                                                                   

 

Présentation de la Place Commerce 2

 

79 – 1610 – LE ROY  Marie Jeanne

 

Marie Jeanne LE  ROY, elle était la mère de Joseph Marie LE ROY, le chirurgien gacilien qui fit construire la maison 1-1375 et qui était l’époux de Jeanne Turquety.

80 – 1612 - ORINEL Pascal 

 

HISTOIRE FAMILLE ORINEL GÉNÉALOGIE ORINEL DUCREST de VILLENEUVE

 

 

 

80-A – 1613 - ORINEL  Sophie

 

 

 

Présentation de la Rue St Vincent 1

 

81 – 1707 - LUCAS  Anne

 

 

82 – 1700 - COURLIER  Perrine 

 

 

Présentation de la Rue du Bétail 1

 

83 -  1699 - BURBAN Jean Marie

 

 

84 – 1696 - HALLET Perrine

 

 

85 – 1695 - COYAC Jean

 

 

Présentation de la Rue du Haut Champ de Foire

 

86 – 1755 - GUIHO  Perrine  

 

 

87 -  1756 - ROBIN Perrine

 

Perrine ROBIN était LA V^ve de Jean HERSART en 2 ^eme noce (maison24-1475)

 

88 – 1757 - AUDRAN Mathurin 

 

 

89 – 1288 - GAUTIER Joseph

 

 

90 – 1684 - PUISSANT  Jean Marie 

 

FAMILLE PUISSANT

 

Présentation de la Rue du Bas Champ de Foire

91 – 1683 - HERSART Joseph 

 

 

Joseph HERSART était le frère de Jean Marie HERSART (maison 24-1475)

Présentation de la Rue du Bétail(2)

 

92 – 1689 - COYAC Julien

 

Jeanne Clésio était la fille de Honorat Clésio( maison 67-1597)

 

93- -1691 - BOUCHER Julien

 

Julien BOUCHER était pensionné.

 

Présentation de la Rue des Brelles

Figure 25-Rue des Brelles

 

94 - 1692 - ÉPAILLARD Julien

 

 

95 – 1690 - SOULAINE Jean Baptiste

 

 

Jean Baptiste SOULAINE, originaire de Saint Martin/Les Fougerêts, n’avait pas de lien de parenté avec Patern et Pierre Soulaine (maison 2-1377 et 23-1473).

 

Présentation de la Rue St Vincent(2)

Figure 26-Rue St Vincent(2)

 

96 – 1681 – SAULNIER Armand

 

 Saulnier Armand né à la Bouère le 10 septembre 1791 de Jacques Godefroy et de Scholastique Éon. Il devint d’abord avocat dans la rue Saint Vincent (16d26) puis receveur-percepteur des contributions directes (19m32) pour terminer juge de paix (17n41). En 1846, il organise à La Gacilly une association des membres et correspondants de l’Institut et Officiers des Armées avec Jean Jacques Le Dault notaire et Jean Marie Cheval, avocat et prêtre ?

Marié à Marie Louise Viviers, un an après, celle-ci décédera à la naissance de leur seul enfant le 28 décembre 1833 ainsi que le nouveau-né.

Voir aussi maison 34-1489

 

96 A – 1680 - CLÉMENCEAU   François

 

Cette maison était inhabitée en 1836. Elle avait été achetée comme bien national par François CLÉMENCEAU (maison44-1533).

 

97 – 1679 - JOLIVET Jean

 

 

98 – 1664 - GHÉHÉNEUC Joseph 

 

Joséphine SOULAINE était la fille de Geoffroy Soulaine (maison 2-1377)

99 – 1663 - DETO Jean

 

La chambre et le grenier appartenait  à Boucher  Joseph chapelier.

Voir famille Pignaud maison 17-1469.

 

100 – 1662 - BOUCHER Julien 

 

 

101 – 1660 - JOUBIN  Yves

 

Maison appartenant à Vincent Sorel, amoulageur, (maison 38-1518). En 1824 cette maison est cadastrée comme moulin. Quel moulin ?

102 – 1658 - GÉRARD  Armel

                                                                                                             

Avant d’être chartuitier, Armel Gérard fut le garde-champêtre gacilien en second .

103 – 1657 - SOULAINE   Pierre 

 

Pierre Mathurin Soulaine, le fils de Pierre René Soulaine, était tanneur Passage Rohan en 1798 dans la maison qui deviendra le débit boisson Leclerc par la suite rue du Vaugleu (Histoire de La Gacilly P.327). En 1811, il épousera Françoise Poligné, la fille de Jacques et de Marie Soulaine, mais aussi la veuve de Pierre Roussel, son voisin de la rue Saint-Vincent. Il devient alors marchand de draps.

Une particularité pour cette maison : le rez-de-chaussée appartenait bien à Pierre Mathurin, mais la chambre et le grenier appartenait à son cousin Pierre Patern de la rue des Posts. On retrouve cette particularité de possession dans d’autres maisons.

104 – 1656 - BRIAND Victor 

 

 

 

104 A - 1655 – ROUSSEL Pierre

 

ROUSSEL

 

 

 

105 – 1654 - BOUCHER Pierre

 

 

Présentation de la Place Municipale (2)

 

 

106 – 1609 - POLIGNÉ   Joseph

 

Lors de l’agrandissement de la rue Saint-Vincent, cette maison fut diminuée ainsi que celle d’en face.

Joseph Poligné était le frère de Louis (maison 39-1521)

 

107 – 1614 - ORINEL Constant

 

 

Constant ORINEL fut d’abord employé de mairie en 1822 (16d22) ; en 1844 , alors qu’il est adjoint au maire, Mathurin Robert, il assiste au dépouillement des soumissions reçues lors de l’adjudication des travaux de l’église Saint Nicolas.

Il sera maire de La Gacilly de 1865 à 1871 tout en étant marchand de fer.

Le 11 février 1868, le maire, Constant Orinel et son conseil municipal décide la construction d’un débarcadère au Bout-du-Pont mais les travaux ne débuteront que dix ans plus tard, Jean Rouxel étant maire ; ils seront réalisés par Vincent Morice.

Voir aussi maison 80-1612.

 

108 – 1616 - ROBERT Mathurin